Pour tous les Aveyronnais et plus particulièrement, les cyclistes habitant près de Rodez, la route entre la préfecture et Laissac, est un passage incontournable.
Il s'agit d'une des rares routes plates de la région et l'hiver, elle constitue un idéal terrain d'entrainement même si le trafic automobile y est de plus en plus dense.
En cadet, j'y faisais du pignon fixe et à partir de junior, pour préparer les grands objectifs (contre la montre et piste), j'y passais derrière le scooter conduit par mon père.
Combien de fois ? Je n'en sais rien mais grosso modo, plusieurs dizaines de fois par an. Pas de quoi rebaptiser la route quand même.
A l'aller comme au retour, le point culminant est matérialisé par le hameau "La Baraque de Turq". Lorsque l'on passe à l'aller, la pente est un peu plus douce et ça passe bien mais au retour, après de longues minutes passées au-delà de 180 pulsations, les cuisses s'enflammaient assez rapidement et les 4 ou 5% sur 500m, ressemblaient vite à l'Alpe d'Huez...
Et le but, tout au long des sorties, c'était de passer de plus en plus vite au sommet.
De mémoire collective, je n'ai jamais réussi à dépasser les 60km/h (59.8 exactement) et franchement, ce n'était pas faute d'avoir essayé.
J'y suis repassé récemment, en voiture, et cette fois-ci, je me suis arrêté faire la photo du panneau de cet endroit que l'on surnomme : le Col de la Baraque de Turq...
En cadet, j'y faisais du pignon fixe et à partir de junior, pour préparer les grands objectifs (contre la montre et piste), j'y passais derrière le scooter conduit par mon père.
Combien de fois ? Je n'en sais rien mais grosso modo, plusieurs dizaines de fois par an. Pas de quoi rebaptiser la route quand même.
A l'aller comme au retour, le point culminant est matérialisé par le hameau "La Baraque de Turq". Lorsque l'on passe à l'aller, la pente est un peu plus douce et ça passe bien mais au retour, après de longues minutes passées au-delà de 180 pulsations, les cuisses s'enflammaient assez rapidement et les 4 ou 5% sur 500m, ressemblaient vite à l'Alpe d'Huez...
Et le but, tout au long des sorties, c'était de passer de plus en plus vite au sommet.
De mémoire collective, je n'ai jamais réussi à dépasser les 60km/h (59.8 exactement) et franchement, ce n'était pas faute d'avoir essayé.
J'y suis repassé récemment, en voiture, et cette fois-ci, je me suis arrêté faire la photo du panneau de cet endroit que l'on surnomme : le Col de la Baraque de Turq...
1 commentaire:
C'est beau et émouvant...
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